Brûlure au deuxième degré

Comment pouvons-nous faire mieux ? Pour devenir ce que nous souhaitons être, les humains – et l’humanité – doivent se poser régulièrement cette question, et il est utile d’être honnête avec nous-mêmes lorsque nous le faisons. Chez Veemo, nous voulons être un exemple positif pour le monde en matière d'émissions de carbone et pensons que l'accord de Paris est un très bon point de départ. 

Si nous voulons atteindre l’objectif d’une réduction de 1,5 degré Celsius, les pays du G20 devront prendre des mesures plus drastiques. Selon une comparaison récente des économies du G20 avec leurs obligations auto-prescrites dans le cadre de l’Accord de Paris de 2015, pas un seul pays sur les 36 examinés – y compris les 20 plus grands pays développés du monde – n’a satisfait aux critères nécessaires pour réduire les gaz à effet de serre (GES). aux niveaux requis pour éviter des catastrophes climatiques catastrophiques et existentielles. Ils ne sont même pas proches. Pendant ce temps, la Gambie, nation africaine, nous montre à quoi ressemble une nation véritablement développée. 

Selon un rapport de CNN, l’organisme de surveillance Climate Action Tracker (CAT) a analysé les politiques de 36 principaux pays et des 27 pays de l’Union européenne. Ces pays sont collectivement responsables de 80 % des émissions mondiales de GES. Selon l'article, l'analyse a également conclu que la Gambie était le seul pays parmi les 37 étudiés à être « compatible 1,5 ».

Dans le cadre de l’accord de Paris de 2015, plus de 190 pays ont convenu de limiter l’augmentation des températures mondiales bien en dessous de deux degrés Celsius au-dessus des températures préindustrielles, idéalement à 1,5 degré près. Les scientifiques affirment qu’il s’agit du seuil critique pour certains écosystèmes terrestres et qu’il pourrait déclencher des phénomènes météorologiques extrêmes encore plus catastrophiques.

Veemo pense que cela illustre deux points. Nous estimons que l’incapacité persistante à prendre des mesures correctives minimales confirme notre conviction selon laquelle la volonté politique fait défaut. Le deuxième point à retenir est que cela nous impose, à nous, citoyens de la Terre, de prendre les mesures nécessaires.

Nous construisons une gamme de véhicules de micro-mobilité à émissions nulles et ultra faibles qui à la fois réduisent les émissions de CO2 et offrent des méthodes de transport plus efficaces, permettant aux navetteurs d'économiser du temps et de l'argent. Notre Veemo SE peut répondre aux exigences de la majorité des besoins des navetteurs avec une autonomie de 75 km et des vitesses allant jusqu'à 32 km/h avec assistance électrique, tout en gardant les navetteurs à l'abri des éléments pour s'assurer qu'ils arrivent frais et en sécurité à leur destination. En cours de route, nous espérons inspirer les autres de la même manière que la Gambie nous a inspirés. 

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